Cet article synthèse porte sur une étude américaine identifiant que les étudiant.es de niveau collégial appartenant à une minorité sexuelle sont quatre fois plus susceptibles d’avoir des problèmes de santé mentale. Dans cette étude, 65 000 étudiant.es de plus de 70 campus aux États-Unis ont été sondé.es, dont 1237 étudiant.es appartenant à des minorités sexuelles.
« Après avoir tenu compte des variables de l’origine ethnique, de l’âge, du statut socioéconomique et d’autres facteurs, les chercheures ont calculé que le risque de symptômes de maladies mentales est de quatre fois plus élevé chez les étudiants appartenant à une minorité sexuelle que chez les étudiants cisgenres. »
Study reference
Lipson, S.K., Raifman, J., Abelson, S. et Reisner, S.L. (2019). Gender Minority Mental Health in the U.S.: Results of a National Survey on College Campuses. American Journal of Preventive Medicine, 57(3).
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