Qu’est-ce qu’un trouble de santé mentale?

Un trouble de santé mentale est un état de santé qui se définit par des changements qui affectent la pensée, l’humeur ou le comportement d’une personne, ce qui perturbe son fonctionnement et lui entraîne de la détresse.

Environ un Canadien sur cinq souffrira d’un trouble de santé mentale à un moment de sa vie. À l’âge de 40 ans, environ 50 % des gens auront vécu avec un trouble de santé mentale à un moment ou à un autre.

Il est possible de vivre avec un trouble de santé mentale et avoir une bonne santé mentale. Toutefois, cela peut amener des souffrances par moment quand, par exemple, le traitement ou le soutien social n’est pas adéquat ou quand les symptômes sont très intenses ou persistent pendant longtemps. Heureusement, du soutien et des traitements existent pour diminuer les souffrances, ce qui fait que la plupart des personnes vivant avec un trouble de santé mentale peuvent retrouver une vie saine et satisfaisante.

Attention à l’autodiagnostic

L’évaluation et l’émission d’un diagnostic est le fruit d’une analyse professionnelle complexe qui prend en compte de multiples facteurs génétiques, biologiques, environnementaux et expérientiels.

Ainsi, aucun facteur à lui seul ne peut causer un trouble de santé mentale et la manifestation de certains symptômes ne renvoie pas automatiquement à un diagnostic.

Le médecin, le psychologue, ainsi que certain.es professionnel.les autorisé.es par leur ordre sont les seul.es à pouvoir le faire officiellement selon leur champ d’expertise.

Les principaux troubles de santé mentale

Si tu te questionnes pour toi ou un.e proche, tu trouveras ici de l’information sommaire sur quelques troubles de santé mentale. Si tu souhaites aller plus loin, adresse-toi à un.e professionnel.le.

Les troubles anxieux

Il est naturel de ressentir un certain niveau de stress ou d’anxiété selon les situations ou événements, par exemple lorsqu’on vit un changement de vie important, un examen, une entrevue d’embauche, une épreuve sportive, etc. Il s’agit alors d’une réaction normale de l’organisme à une menace réelle ou perçue qui disparaît généralement dès que la vie reprend son cours normal.

On parle plutôt d’anxiété, et potentiellement de trouble anxieux, lorsque l’anticipation est liée à une menace potentielle ou non existante. Cet état s’accompagne d’un sentiment d’appréhension, d’un état de vigilance, de symptômes physiques (palpitations, souffle court, sueurs, tremblements, étourdissements, tensions musculaires, nausées, etc.) et de pensées automatiques et/ou envahissantes (ruminations, inquiétudes, anticipation du pire, obsessions, etc.).

Bien que ce soit beaucoup plus intense qu’une réaction de stress, l’anxiété n’est pas automatiquement considérée comme un trouble. Elle peut toutefois le devenir dans les situations suivantes.

  • Les inquiétudes sont excessives, continuelles et/ou irréalistes.
  • L’anxiété occasionne un niveau de détresse important.
  • L’intensité de la réaction dépasse le danger (de la situation).
  • L’anxiété affecte le fonctionnement personnel, scolaire ou autre.

Tu te reconnais dans ces situations? Nous décrivons ci-dessous différents troubles anxieux.

Le trouble d’anxiété généralisée

Les personnes vivant avec un trouble d’anxiété généralisée (TAG) s’inquiètent de manière excessive et incontrôlable des événements et des activités de la vie quotidienne. Elles présentent souvent des symptômes physiques désagréables, notamment de la fatigue et des douleurs musculaires, et peuvent également rencontrer des difficultés à dormir et à se concentrer. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici l’histoire de Laurie.

Le trouble panique

Les personnes vivant avec un trouble panique subissent des attaques de panique inattendues et répétées. Il s’agit d’une poussée soudaine de peur ou de malaise intense, qui atteint son plus haut niveau pour ensuite s’apaiser au bout de quelques minutes. Une attaque de panique comprend au moins quatre des symptômes physiques ou psychologiques suivants.

  • Un cœur qui bat rapidement ou s’emballe
  • Douleur ou gêne au niveau de la poitrine
  • Transpiration
  • Secousses ou tremblements
  • Essoufflement ou sensation d’étouffement
  • Frissons ou bouffées de chaleur
  • Nausées ou maux d’estomac
  • Étourdissements ou vertiges
  • Sentiment d’irréalité ou de détachement de soi (déréalisation)
  • Sensations d’engourdissement ou de picotement
  • Peur de perdre le contrôle
  • Peur de mourir

Les attaques de panique sont assez courantes et en avoir une ne signifie pas que tu souffres d’un trouble panique. Celles-ci deviennent un trouble que si tu t’inquiètes régulièrement d’en subir d’autres ou si tu as peur que quelque chose de grave se produise à cause d’une attaque de panique (comme devenir fou, perdre le contrôle ou mourir) ou que cela induit des changements majeurs de comportement pour éviter une autre attaque, par exemple éviter de faire de l’exercice ou de fréquenter certains lieux. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici les histoires de Kathleen et de Simon.

L’agoraphobie

L’agoraphobie est la peur de se retrouver en dehors de son domicile, dans un lieu public. Cela accompagne parfois le trouble panique dans la mesure où la personne qui présente de l’agoraphobie craint les lieux publics, souvent parce qu’elle a peur de ne pas pouvoir en sortir facilement ou d’y faire une crise de panique. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici l’histoire de Marc-André.

La phobie spécifique

Les phobies sont des peurs intenses et persistantes concernant des lieux, des situations ou des choses spécifiques. Les phobies peuvent t’empêcher d’aller dans des endroits où tu aimerais aller ou de faire des choses que tu aimes faire. Il existe différentes phobies que l’on peut classer en catégories.

  • Situationnelle : concerne une situation spécifique, telle que la phobie des avions, des ponts, des ascenseurs, de la conduite automobile, etc.
  • De type sang-injection-accident : comprend toute procédure médicale invasive. Ce type de phobie est fréquemment associé à un malaise qui peut être suivi, dans certains cas, d’un évanouissement.
  • Liée à environnement naturel: phobie des orages, des hauteurs, des tempêtes, de la noirceur, de l’eau, etc.
  • Liée à un animal: phobie des insectes, des chiens, des serpents, des rongeurs, des araignées, etc.

Les personnes qui ont une phobie spécifique ont une peur ou une anxiété persistante pendant plus de 6 mois liée à la situation ou à l’objet en question. Elles présentent également les caractéristiques suivantes.

  • La situation ou la proximité de l’objet déclenche toujours la peur ou l’anxiété immédiate.
  • Elles évitent activement la situation ou l’objet.
  • La peur ou l’anxiété est hors de proportion avec le danger réel (en tenant compte des normes socioculturelles).
  • La peur, l’anxiété et/ou l’évitement causent une détresse importante ou significative qui nuit au fonctionnement social ou professionnel.

Trouble de l’anxiété sociale (ou la phobie sociale)

L’anxiété sociale est une peur associée à certaines activités sociales ou à des situations de performance où la personne pourrait se sentir observée, embarrassée, humiliée, rejetée ou préoccupée par le jugement des autres. Cette peur devient un trouble lorsqu’elle s’intensifie au point d’empêcher de mener une vie normale. La personne peut alors se mettre à ne plus vouloir assister à ses cours, éviter les endroits publiques (ex. centre d’achat, gym), ne plus parler en classe, etc. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici l’histoire d’Élise.

Trouble obsessionnel-compulsif (TOC)

Le trouble obsessionnel-compulsif  (TOC) implique des pensées, des images ou des pulsions indésirables et dérangeantes (obsessions) qui s’installent dans l’esprit de la personne et provoquent une grande anxiété ou un grand malaise, au point de vouloir réduire ce sentiment en adoptant des comportements ou des actes mentaux répétitifs (compulsions). Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici l’histoire d’Émilie.

Trouble de stress post-traumatique

Le trouble de stress post-traumatique (TSPT) est un trouble réactionnel qui peut apparaître à la suite d’un événement traumatisant. Un événement est dit « traumatique » lorsqu’une personne est confrontée à la mort, à la peur de mourir ou lorsque son intégrité physique ou celle d’un.e autre a pu être menacée. Cet événement doit également provoquer une peur intense, un sentiment d’impuissance ou un sentiment d’horreur.

Une personne qui développe un trouble de stress post-traumatique :

  • revit continuellement la scène traumatisante en pensée ou en cauchemar (symptômes de reviviscence);
  • cherche à éviter – volontairement ou involontairement – tout ce qui pourrait lui rappeler de près ou de loin le trauma (symptômes d’évitement et d’engourdissement émotionnel);
  • est fréquemment alerte (symptômes d’hypervigilance) malgré l’absence de danger imminent.

Les troubles de l’humeur

L’humeur est un état d’esprit dominé par une émotion, par exemple la colère, la tristesse ou la joie. Les émotions peuvent être agréables ou non, et parfois souffrantes. Habituellement, nous sentons que nous maîtrisons nos émotions, mais une personne atteinte d’un trouble de l’humeur vit ses émotions de façon plus intense, envahissante et durable que la plupart des gens, ce qui nuit à son bien-être et son fonctionnement.

Ci-dessous sont décrits deux troubles de l’humeur plus fréquemment observés : la dépression et le trouble bipolaire.

La dépression

De temps en temps, tout le monde se sent triste ou morose. Les problèmes, les déceptions et les échecs peuvent affecter l’humeur de n’importe qui. Le plus souvent, ces sentiments sont temporaires. Mais, lorsque l’humeur maussade se maintient plus de quelques semaines et que d’autres symptômes apparaissent, par exemple le manque d’énergie et l’isolement, cela peut être un signe de ‍dépression. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici l’histoire d’Alexandre.

Il n’existe pas de cause unique à la dépression. Elle se développe souvent en raison de plusieurs facteurs combinés, tels que des événements de la vie, des facteurs biologiques (hormones, antécédents familiaux, génétique), des habitudes de vie, une maladie ou encore des modes de pensée qui rendent une personne plus vulnérable. Voici les principaux symptômes physiques et psychologiques de la dépression.

  • Fatigue
  • Manque d’énergie ou agitation
  • Problèmes de sommeil: dort trop ou peu
  • Changement au niveau de l’appétit: augmentation ou diminution
  • Changement au niveau sexuel: diminution ou perte d’intérêt
  • Malaises: maux de tête, douleurs au dos ou à l’estomac
  • Grande tristesse (ex. pleurer souvent)
  • Perte d’intérêt pour les activités professionnelles, sociales et familiales
  • Sentiment de culpabilité ou d’échec
  • Diminution de l’estime de soi
  • Difficulté à se concentrer ou à prendre des décisions
  • Idées suicidaires

Le trouble bipolaire

Une personne présentant un trouble bipolaire passe par des périodes durant lesquelles son humeur est très différente. Ces périodes sont appelées « épisodes » de manie ou de dépression et peuvent être entrecoupées de moments où l’humeur est « normale ». La fréquence, la durée et l’intensité des épisodes peuvent varier d’une personne à l’autre, mais pendant, il est difficile de remplir ses obligations professionnelles, familiales et sociales. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici les histoires de Charles-Albert et de Nawal.

Un épisode de manie se reconnaît à la présence continuelle, pendant au moins une semaine, de plusieurs des signes et symptômes suivants.

  • Sentiment de bonheur et de plaisir très intense ou, au contraire, d’irritabilité excessive.
  • Hyperactivité, agitation et énergie débordante.
  • Estime de soi démesurée ou idées de grandeur.
  • Plus grande communicabilité (désir de parler).
  • Augmentation importante du nombre d’activités professionnelles, scolaires, sociales ou familiales.
  • Diminution du besoin de dormir.
  • Accélération de la pensée.
  • Grande distraction et difficulté de concentration
  • Comportements à risque.

Un épisode de dépression se caractérise par la présence continuelle, pendant au moins deux semaines, de plusieurs des signes et symptômes suivants.

  • Grande tristesse et pleurs fréquents
  • Importante perte d’intérêt pour les activités professionnelles, sociales et familiales
  • Fatigue, manque d’énergie ou grande agitation
  • Problèmes de sommeil : la personne dort trop ou pas assez
  • Diminution ou augmentation de l’appétit, pouvant causer une perte ou un gain de poids
  • Sentiment de culpabilité ou d’échec
  • Diminution de l’estime de soi
  • Difficulté à se concentrer sur une tâche
  • Difficulté à prendre des décisions
  • Pensées suicidaires

 

Les troubles psychotiques

Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. La période pendant laquelle la personne présente ces symptômes se nomme « épisode psychotique ». La personne peut, par exemple, être convaincue d’être surveillée ou suivie, entendre des voix ou avoir l’impression que d’autres personnes manipulent ses pensées. À ce moment, elle fait difficilement la différence entre ce qu’elle perçoit et la réalité. Un épisode psychotique peut s’installer graduellement ou de façon soudaine et peut prendre différentes formes. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici les histoires de Sonia et de Maximilien.

Les troubles de la personnalité

La personnalité est généralement formée d’une combinaison de traits, de réactions émotionnelles, d’attitudes et de comportements qui se développent à partir de la naissance jusqu’au début de l’âge adulte, pour devenir ensuite relativement stables. Chez la majorité des gens, posséder différents traits de personnalité permet de présenter un large éventail de réactions et mécanismes d’adaptation face à une situation stressante. À l’inverse, les personnes ayant un trouble de la personnalité n’ont pas cette souplesse et cette adaptabilité. Elles sont plutôt rigides dans leurs comportements et réactions, même lorsqu’une situation leur cause de la souffrance et des effets négatifs dans leur vie.

Plusieurs types de troubles de la personnalité existent.  Le trouble de la personnalité limite est le plus connu.

Trouble de la personnalité limite

Les personnes vivant avec un trouble de la personnalité limite (TPL) ont une peur extrême ou exagérée de perdre leurs liens avec les membres de leur entourage. Elles se sentent facilement rejetées ou abandonnées par les autres, ce qui crée des conflits dans leurs relations sociales. Elles ont donc un grand besoin que leurs proches les rassurent sur le fait qu’ils et elles sont présent.es et sur l’importance de leur relation. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici l’histoire de Marie.

Pour compléter ce portait clinique, il semble pertinent d’amener certaines nuances avec celui des personnes vivant avec un trouble de la personnalité narcissique (TPN). Si les personnes vivant avec un TPL vivent la crainte d’être abandonnée, celles vivant avec un TPN ont plutôt peur d’être humiliées et de voir leur ego blessé. Généralement, personne n’apprécie être écrasé ou rejeté, c’est normal. Toutefois, ce qu’il faut retenir est que ceux qui souffrent d’un TPL ou d’un TPN le vivent de façon plus marquée et ont des comportements orientés par des modes de pensée tels que : « Je suis en fusion avec l’autre ou je suis rejeté (TPL) » ou « Je suis supérieur aux autres ou je suis moins que rien (TPN) ».

Les troubles de la conduite alimentaire

Les troubles de la conduite alimentaire sont des désordres complexes, principalement caractérisés par des habitudes alimentaires anormales, une crainte intense de prendre du poids et une grande préoccupation par rapport à son image corporelle. Ils ont de graves conséquences sur la santé physique et mentale, peuvent perturber la vie familiale, les amitiés et la vie de tous les jours. Les principaux types de troubles de la conduite alimentaires et les comportements associés sont présentés ci-dessous.

Anorexie mentale (ou nerveuse)

L’anorexie mentale se caractérise par une brusque perte de poids résultant de régimes drastiques, de jeûnes, de vomissements provoqués, d’utilisation de laxatifs ou d’exercice physique excessif. L’anorexie mentale est également associée à une peur intense de prendre du poids ainsi qu’à une distorsion de l’image corporelle. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici les histoires de Marianne et de Catherine.

Boulimie

La boulimie se caractérise par la présence de compulsions alimentaires, suivies de méthodes compensatoires telles que des régimes drastiques, jeûnes, vomissements provoqués, exercice excessif, et bien d’autres. Des sentiments de honte, de culpabilité et de dégoût suivent souvent ces épisodes. Pour lire un témoignage sur cette réalité, voici l’histoire de Sophie.

Hyperphagie boulimique

L’accès hyperphagique (ou hyperphagie boulimique) se présente lors de compulsions alimentaires sans toutefois qu’il y ait des méthodes compensatoires. Les épisodes de compulsions se produisent lorsqu’il y a absorption, en une période de temps limitée, d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient en une période similaire et dans les mêmes circonstances. Les épisodes sont souvent accompagnés d’un sentiment de perte de contrôle. À la suite de la compulsion, la personne atteinte d’accès hyperphagique vit de la culpabilité, de la honte et du dégoût.

Troubles alimentaires non spécifiés

Les troubles alimentaires non spécifiés englobent les problématiques qui ne répondent pas précisément aux critères des troubles alimentaires spécifiques tels que l’anorexie mentale, la boulimie et l’accès hyperphagique. Il s’agit par exemple de l’orthorexie ou de la bigorexie. Malgré ce fait, les personnes souffrant d’un trouble alimentaire non spécifié peuvent vivre également avec une faible estime de soi et une obsession de l’image corporelle. Elles peuvent compter les calories, instaurer des régimes amaigrissants, adopter des habitudes de surentraînement, etc.


Références

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American Psychiatric Association.  (2015) Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-5) 

Anorexie et boulimie Québec (2023) Troubles alimentaires

Anxiété Canada (2022) Le trouble d’anxiété généralisée chez l’adulte

Anxiété Canada (2022) Obsessive-Compulsive Disorder

Anxiété Canada (2022) Trouble panique

Association canadienne pour la santé mentale (2016) Les mythes au sujet des maladies mentales

Association canadienne pour la santé mentale (2022) Comprendre les troubles alimentaires et trouver de l’aide

Association canadienne pour la santé mentale (2022) Faits saillants

Gouvernement du Québec (2018) Trouble de la personnalité limite (TPL)

Gouvernement du Québec (2019)  À propos des troubles anxieux

Gouvernement du Québec (2019) Trouble panique et agoraphobie

Gouvernement du Québec (2021) Guide explicatif – Loi modifiant le Code des professions et d’autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines

Gouvernement du Québec (2022)  À propos des troubles mentaux

Gouvernement du Québec (2022) À propos des troubles de l’humeur

Gouvernement du Québec (2022) Anxiété sociale

Gouvernement du Québec (2022) Trouble bipolaire

Gouvernement du Québec (2022) Troubles psychotiques

Le manuel Merck (2002) Présentation des troubles de la personnalité

Le manuel Merck (2002) Troubles phobiques spécifiques

Mental Health Litteracy (2022) Social Anxiety Disorder

Crédit

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Contribution à l’article : Isabelle Queval, psychologue

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